Le mentor d’entreprise se doit de jongler en pleine conscience et avec agilité entre trois postures : celle du coach, qui éveille par le questionnement, celle du conseiller (et non du consultant), qui donne son avis sur demande, et celle du formateur, qui partage son expérience lorsque cela est utile.
J’aime me laisser porter par les vagues dans mes zones de confort. Tout comme un crayon qu’il faut tailler à force d’écriture, j’ai donc éprouvé le besoin de remettre l’ouvrage de ma pratique d’accompagnant de dirigeants et de professionnels en entreprise sur le métier.
Pour cela, je peux me considérer comme une sorte de boussole indiquant le nord des bonnes pratiques en mentoring d’entreprise, une profession qui s’appuie sur le savoir, le savoir-faire et le savoir-être pour savoir devenir et savoir faire grandir.