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Auteur/autrice : Samuel

Comment définir le nombre de prospects

En ventes il ne faut pas se contenter de faire les choses, il faut bien les faire! Il est toujours compliqué de savoir combien de rencontres ‘’valables’’ un vendeur doit faire pour atteindre ses objectifs. Ceci peut être une simple histoire de calcul, mais le plus important est de savoir que ce n’est pas la quantité qui compte mais bien la qualité. Donc, si un vendeur additionne 10 à 15 rencontres dans la semaine, et que rien ne s’en dégage, c’est que sa méthode n’est pas la bonne.
Le vendeur doit miser sur des rencontres de nouveaux clients potentiels durant lesquelles il cherche à identifier les situations problématiques que ceux-ci connaissent, car ce sont elles qui vont lui permettre d’augmenter son chiffre de vente. Si le vendeur ne fait que du suivi ou du travail de relations publiques les opportunités ne seront pas suffisantes dans l’entonnoir qui précède la phase de commande.

Étant donné qu’il est difficile d’obtenir des rencontres de nouveaux prospects, voilà comment le vendeur peut agir pour évoluer plus efficacement :
Il est important de bien cibler le client qu’il rencontre. Les critères de « qualité » précis, comme le profil type idéal, sont primordiaux en plus des qualificatifs de budget par exemple.
Il ne sert à rien de planifier une rencontre si on ne s’assure pas d’être assis en face du décideur, de celui qui prendra LA décision d’achat.
Que la rencontre soit téléphonique ou en personne, elle ne peut pas se limiter à un échange de 15 minutes ! Pour une bonne rencontre de vente consultative, vous aurez besoin de 60 à 90 minutes pour poser suffisamment de questions, comprendre les raisons incontournables de l’acheteur, vous positionner comme expert et identifier les raisons d’achat. Tout cela ne peut pas sortir de la bouche du client potentiel en seulement quelques minutes.

Alors, combien de rencontres de vente pouvez-vous exiger chaque semaine ?
Une fois cette méthode suivie à la lettre, le vendeur n’a pas besoin de plus de 2 ou 3 rencontres de nouveaux prospects par semaine pour s’assurer générer assez de ventes. Pour obtenir ces rencontres chaque semaine, le vendeur va devoir prospecter par téléphone, courriel et vente sociale entre autres activités. Bref, il ne s’agit pas d’exiger 10, 15 ou 20 rencontres par semaine à vos vendeurs, mais de savoir comment les optimiser, puis multiplier celles qui sont réellement intéressantes pour générer des ventes.

L’utilisation de la connaissance produit

Aujourd’hui, la connaissance produit n’est plus la clef des ventes comme elle l’était avant Internet et pourtant, pour beaucoup de leaders de vente et de vendeurs, donner des informations techniques reste le cœur du procédé de vente. Le problème est que l’acheteur a changé ses habitudes et il est tout autant au courant, voire plus, que la majorité des vendeurs d’un point de vue technique. Il attend donc du vendeur une expertise d’un autre niveau.

Contrairement à ce qui est encore souvent pratiqué par les concessionnaires, les connaissances techniques sur le produit ne doivent en aucun cas être au centre de la conversation de vente. Ce sont les compétences de vente qui permettront d’obtenir efficacement le résultat attendu. Cependant, la connaissance produit n’est pas mauvaise ou à bannir. Au contraire, elle est nécessaire pour arriver à poser les bonnes questions au client potentiel. Le tout est de savoir donner les informations techniques au bon moment pour atteindre les objectifs intermédiaires nécessaires pour finaliser une vente. Beaucoup trop souvent, le vendeur utilise ses connaissances produit pour former les clients potentiels pendant la vente. En agissant de cette façon, le vendeur partage les connaissances de leur entreprise gratuitement, sans être sûr d’aboutir à un revenu puisque la vente n’est pas conclue.
En fait, le vendeur doit avant tout se servir de ses connaissances produit comme d’une base solide pour poser des questions précises et pertinentes au client. Ceci lui permettra de montrer qu’il connait son sujet, et il pourra ajouter une dimension technique à laquelle le client potentiel sera sensible. Étant donné que peu de vendeurs ont une telle approche, la tactique est extra pour se différencier et se positionner comme expert.
L’idée n’est pas d’empêcher le vendeur de présenter ses connaissances produit, mais bien d’éviter de les faire trop tôt avant d’avoir obtenu du prospect qu’il prenne une décision en échange des informations sur la solution. Avant cette étape, la conversation doit être centrée sur le client et les questions qui permettent d’obtenir les informations pour qualifier le prospect à recevoir une offre; alors que pendant une présentation, la conversation est centrée sur le vendeur et sur la solution proposée pour résoudre la problématique du client potentiel. Plus le vendeur retarde le moment où il se met à donner des informations au prospect, plus il reste le meneur de sa vente.

En marketing, les informations sur le produit ont un autre objectif que celui visé lors d’une vente. Les informations produit permettent de donner plus d’impact et de crédibilité à l’entreprise. Par contre, il est important que le vendeur comprenne bien qu’il ne doit pas les utiliser de la même façon pour déclencher sa vente. C’est lorsqu’il y a confusion entre les objectifs du marketing et de la vente que le vendeur utilise de façon inappropriée les connaissances qu’il doit utiliser pour éduquer le client. Le rôle du vendeur est de vendre !

Les ambassadeurs de vente

Il est de plus en plus difficile d’interpréter les résultats de la publicité que chacun fait pour promouvoir un produit ou un service, sans oublier qu’il est dur de définir par quel canal passer pour plébisciter son produit. Il faut savoir que moins de 10% de la publicité que nous faisons est lue et surtout prise au sérieux, alors que près de 80% de ce que nous dit une connaissance au sujet de telle ou telle chose achetée ou essayée est adoptée facilement.
Depuis quelques temps, on entend beaucoup parler d’ambassadeurs ; des « vedettes » locales, régionales, voire même internationales, que les marques engagent pour promouvoir leurs produits. Ce nouveau genre de marketing a la cote auprès des consommateurs, parce que nous les regardons en tant que références et pas en tant que vendeurs. En fait, ils sont là pour nous inspirer confiance envers ces produits parce que le client potentiel se méfie du vendeur plus que de l’ambassadeur!
La notion d’ambassadeur de marque peut recouvrir différentes réalités relativement distinctes en fonction du type de relation et de la proximité existante entre la marque et l’ambassadeur. On peut ainsi distinguer l’ambassadeur de marque client, l’ambassadeur recruté ponctuellement ou l’ambassadeur égérie.
L’ambassadeur de marque est un individu (un client) de la marque qui réalise plus ou moins bénévolement et spontanément la promotion d’une marque, par le biais du bouche à oreille, auprès de ses pairs consommateurs. Il peut s’agir d’une démarche spontanée d’un aficionado de la marque ou d’un comportement encouragé ou provoqué par la marque à l’aide de différents éléments de motivation (dotation produit, invitation VIP,..). L’ambassadeur de marque joue un rôle de prescripteur auprès de ses proches et connaissances.
Le développement d’Internet et des réseaux sociaux a provoqué l’apparition d’offres de recrutement et de gestion d’ambassadeurs de marques plus ou moins directement rémunérés pour promouvoir la marque. Ces ambassadeurs ne sont pas forcément à l’origine des clients de la marque.
L’ambassadeur égérie est un individu recruté spécifiquement par une marque pour la représenter sur une période relativement longue. On est alors dans le domaine du ‘’celebrity marketing’’ ou du marketing de l’influence.

Ne vendez pas au rabais

Avez-vous déjà posé la question à vos clients pourquoi ils se sont adressés à vous et non à l’un de vos concurrents ? Sur quel critère se sont-ils basés ?
Beaucoup d’entrepreneurs pensent que le prix est l’élément N°1 intervenant sur leur choix. Et bien c’est FAUX !
Une étude a démontré que près de 95% des décisions d’achat aux États-Unis sont basées sur des facteurs qui n’impliquent pas le prix du produit ou du service. Alors quelles en sont les raisons ?
Tout d’abord, la confiance en vous et celle que vous inspirez est le premier élément sur lequel vous devez miser pour attirer vos prospects et garder vos clients. Comme déjà expliqué, la confiance est une histoire de respect et d’honnêteté ; elle est avant tout une question d’attitude : sachez écouter et comprendre.
Votre professionnalisme est un critère important pour que le prospect devienne client. Il est aussi totalement dépendant de la façon dont vous vous engagerez envers votre prospect. Afin de prouver votre professionnalisme, vous devez montrer votre engagement, votre disponibilité et votre réactivité. Consacrez du temps au prospect sans penser à la rentabilité. La conclusion du deal qui suivra sera votre meilleur retour sur investissement !
Votre disponibilité, par votre présence, par email, par téléphone ou sur les réseaux sociaux, ne sera valable qu’avec une capacité à répondre vite et bien. C’est alors votre professionnalisme qui ressortira, ainsi qu’un sentiment de confiance de la part de votre prospect.
La chose essentielle est de fournir ce que votre client veut, et non ce que vous voulez. Là encore, on ne parle pas de prix, mais plutôt de différence et de qualité. Vous devez donner le sentiment aux prospects que votre produit ou votre service est mieux ou différent que celui de votre concurrent. Soyez attentifs au marché, et faites preuve d’empathie quant aux attentes de votre prospect. Ayez une phrase d’accroche percutante qui vous différenciera des autres…
On en parle et reparle souvent, votre réputation est importante pour transformer un prospect en client, elle ne s’improvise pas et c’est un travail de longue haleine. Adaptez-vous à la personne que vous avez face à vous. On en revient aux termes déjà cités comme l’ouverture d’esprit, l’écoute, l’empathie. Restez flexible, que ce soit dans l’élargissement de vos services, ou dans le fait de renoncer à certaines prestations. Ne vous éparpillez pas mais agissez de manière agile en fonction du prospect, de ses exigences, de l’importance du mandat et des retombés que tout cela peut vous apporter.
Pour terminer, osez dire ce que vous ne savez pas faire et soyez honnête envers vous-même et votre prospect. Cela sera une belle preuve de professionnalisme, et ne vous fera pas perdre de ventes!

Maitriser ces attributs constitue une étape primordiale à la réussite de vos affaires. Mettez-les en place sans tarder et améliorer vos ventes !

Créer un réseau de qualité

Qui dit réseautage, dit être visible. Aujourd’hui, il est absolument nécessaire d’exister aux yeux des autres, à travers les réseaux et surtout au travers des contacts humains. Anne de Tréverret, spécialiste des réseaux humains, dévoile les règles qui mènent au succès.

Voici un petit article paru dans un hebdomadaire récemment qui n’a rien à modifier:

«Beaucoup de personnes imaginent que le réseautage est une perte de temps», ce qui est totalement faux, remarque Anne de Tréverret, spécialiste des réseaux humains.

Le réseautage et les rencontres permettent de gagner confiance en soi, en partageant son histoire avec authenticité. Rencontrer des nouvelles personnes fait un bien fou au mental et aide à rester motivé(e), sans compter que cela procure un gain de temps inestimable vers le succès. «Ainsi que le dit Antoine de Saint-Exupéry: ‹Il n’est qu’un seul luxe véritable, et c’est celui des relations humaines». Plusieurs règles aussi simples qu’essentielles doivent être adoptées pour atteindre son but:

1. Connaître vos objectifs
Le réseautage s’inscrit dans un projet de vie, et il est essentiel d’orienter vos démarches de réseautage en fonction de vos buts et donc de votre public-cible. Les relations de qualité que vous créez auront également leur importance à moyen et long terme.

2. Etre et rester visible
Etre et rester visible sont les mots-clés d’un bon réseautage. Votre attitude, votre communication, votre présence à des événements ciblés, votre présence sur les réseaux sociaux sont essentielles pour mener à bien votre projet.

3. Favoriser les rencontres
Privilégier l’échange signifie s’intéresser à toute communication humaine qui peut donner naissance à une relation précieuse. Qu’elles soient de hasard, en vacances, dans le train ou la rue, à la caisse de supermarché, etc. ou préparées, vos rencontres exigeront un esprit d’à-propos, de l’audace et de l’empathie pour être bénéfiques.

4. Faire preuve de délicatesse
Tout contact se crée avec finesse et élégance, et sans s’imposer à tout prix. Il faut trouver la bonne ouverture, l’ancrage qui permettra d’éveiller la curiosité et l’intérêt de son interlocuteur. Puis savoir prendre congé avec délicatesse…

5. Se présenter de manière positive
Dans tous les cas, et notamment en recherche d’emploi, il faut absolument se présenter de manière positive. Ainsi, ce sera toujours plus valorisant de déclarer «je fais actuellement une pause, afin de développer un projet qui me tient à cœur/découvrir de nouveaux horizons/me permettre de réfléchir à une nouvelle orientation», plutôt que «je suis au chômage». Il ne s’agit pas de demander un emploi, mais de donner envie à votre interlocuteur d’en savoir plus.

6. Etre à l’écoute
Toute relation implique un échange honnête et authentique, basé sur l’ouverture d’esprit, la générosité et la confiance. L’opportuniste et le manipulateur sont tôt ou tard démasqués. Oubliez votre objectif professionnel et écoutez votre interlocuteur. Agissez de façon sincère.

7. Respecter son interlocuteur
Gare: ce n’est pas parce que l’on s’appelle par notre prénom que l’autre est un copain! S’il est important de sortir de sa zone de confort, il ne faut pas envahir la bulle de son interlocuteur.

8. Rester en contact
Suite à la rencontre, prendre quelques notes sur les sujets abordés, le lieu et la date permet de reprendre contact aisément dans les trois ou quatre jours, en rappelant le contexte. La continuité dans l’échange et le partage permettra de créer des opportunités. La persévérance paie!

9. Oser recréer le lien
Le temps a passé et vous n’avez pas recontacté une connaissance depuis longtemps? Il faudra alors faire preuve d’un peu d’audace pour tenter de recréer le lien. «Après, c’est quitte ou double. Mais si l’échange a été basé sur un lien de confiance à l’époque, il n’y a pas de raison que cela ne fonctionne pas.»

10. Préférer la qualité à la quantité
Votre succès ne dépend pas du nombre de cartes de visite que vous cumulez, mais de la qualité de la relation que vous créez. Vous ne pouvez pas plaire à tout le monde, vous avez seulement besoin de connaître la bonne personne, au bon moment, au bon endroit.

https://www.migrosmagazine.ch/dix-conseils-pour-creer-un-reseau-de-qualite

La Recommandation

Le meilleur procédé, et le moins cher, de conquête de nouveaux clients est aujourd’hui, sans aucuns doutes, la RECOMMANDATION ! Mais comment peut-on en obtenir des valables ?

Premièrement, vous devez cibler les personnes qui ont un large réseau, de qualité, partageant votre marché stratégique et le même type de client final idéal, dont les compétences sont complémentaires aux vôtres et qui sont reconnues pour leur expertise et leur professionnalisme. Ceci peut être dans, mais aussi hors de votre réseau actuel.
Pour les recommandations provenant de vos clients, fournissez le meilleur travail possible, soyez attentifs à la relation client, faites toujours preuve de professionnalisme et d’exigence pour espérer que le client endosse le rôle de porte-parole et d’ambassadeur de votre business.
LA QUALITÉ DE VOTRE TRAVAIL, VOTRE RÉPUTATION ET VOTRE SAVOIR ÊTRE SONT VOS MEILLEURS ALLIÉS!

C’est une approche qui doit être faite de façon proactive. À vous d’aller chercher les recommandations en les demandant directement aux membres de votre réseau. Et, encore une fois, optez pour des sources qualitatives, qui sauront valoriser votre personne ou votre produit, soit vos qualités d’entrepreneur ou la qualité de vos services en direction de futurs clients.

Ce marketing des recommandations est totalement gratuit. Il entraîne en plus une confiance rapide du prospect sur la qualité de votre business. Sur cette base, les ventes se font plus rapidement, avec des prospects prêts à être convertis en clients. Que les recommandations viennent de vos clients ou de votre réseau, elles vous permettront de gagner en crédibilité, en visibilité ou en réputation. Plus visible, plus crédible, reconnu pour votre sérieux, vous passerez ainsi devant vos concurrents. Cette réputation solide sera un véritable aimant pour de nouvelles ventes et votre meilleure carte de visite…
Il faut que cela fasse partie de votre stratégie permanente. En devenant un expert de votre secteur d’activité, le prospect sera dans une posture de confiance et d’ouverture, prêt à être converti en client. Bref ! De quoi suggérer à votre prospect que vous êtes le meilleur pour réaliser ce travail.
Quelle est la part de vos affaires qui découlent de vos recommandations ?
Qu’allez-vous mettre en place pour augmenter cette part de business ?

Faites une liste des cinq personnes qui peuvent vous recommander (hors de votre famille et amis proches, sortez de votre zone de confort), et osez oser !
Demandez !

Des ventes récurrentes

Depuis l’arrivée du crash boursier de 2009, un malaise général s’est installé dans le monde des affaires. Les problèmes d’éthique, de fraude et d’abus de confiance surgissent de partout. Conséquence : les bonnes vieilles méthodes pour faire des affaires doivent être repensées. Pour les vendeurs, cela a un impact important : son rôle, ses compétences et ses activités de vendeur doivent être revus afin de retrouver la croissance passée.
Le client habituel qui faisait confiance contacte maintenant la concurrence pour obtenir une offre meilleure et ne renouvelle plus systématiquement sa commande. Pour le vendeur, cela représente une perte sèche sur son revenu habituel, car les chiffres et objectifs personnels ne sont pas atteints et les dépenses prévues doivent attendre !!
De plus, le client, plus méfiant, veut maintenant être rejoint dans son bureau et non plus au restaurant pour un café, un lunch ou une partie de golf.
Voici ce à quoi chacun peut réfléchir afin d’adapter sa force de vente :
Vous devriez d’abord évaluer toute votre force de vente (vendeurs, directeurs de ventes, fournisseurs, revendeurs, etc.) afin de répondre à quelques questions comme : Quelles sont nos capacités de vente actuelles ? / Pourquoi nous ne générons pas de ventes à de nouveaux clients ? / Parlons-nous aux véritables décideurs ? / Pourquoi le cycle de nos ventes est-il si long ? / Faut-il vendre de façon plus consultative ? / Peut-on vendre d’avantage ? / Est-ce que notre processus de vente peut nous permettre de vendre plus ? / Nos objectifs sont-ils justes et atteignables ? Et surtout : Avons-nous les bonnes personnes aux bons postes ?
Vous devriez ensuite planifier les changements qui devraient être apportés, tels que le profil du client idéal, le message que les vendeurs véhiculent (le positionnement qu’ils font passer), le processus de vente, le développement des compétences du personnel de la vente pour gagner de nouveaux clients, la formation ou le coaching de toute l’équipe de vente (chefs ou directeurs de vente et vendeurs), le type et la fréquence des réunions de vente, etc.
Après ces transformations auprès des forces de vente réalisées au cours des dernières années, des analyses montrent bien que les entreprises qui ont mis en place les changements mentionnés précédemment ont vu leur chiffre de ventes augmenter de 15 à 20% dès la première année.

Bref ! Si vous êtes prêts affronter cette réalité et que vous vous apprêtez à apporter les correctifs nécessaires vous retrouverez le succès des belles années et vous ne subirez plus les fluctuations de l’environnement économique.

Booster vos ventes!

Ralentissement, plafonnement, ou pire, décroissance de vos ventes…que faire ?
Tout d’abord, évaluez la situation et avant de fixer des objectifs atteignables, faites le point. Où en êtes-vous avec votre budget 2017 ? Quels sont vos freins et obstacles ? Quelles opportunités voyez-vous ? Combien de ventes devez-vous faire jusqu’à la fin de l’année ? Comment allez-vous faire ?
En apportant des réponses précises à toutes ces questions, vous pourrez enclencher un nouveau plan mensuel, puis hebdomadaire, de vos réalisations d’objectifs à la fin de l’année.

Une des clés du succès pour arriver à ses objectifs, est de se concentrer sur leur réalisation. Remplissez les tâches et attelez-vous aux chantiers qui vous mèneront directement à vos objectifs. Eliminez ou déléguez tout ce qui vous en éloigne. Avant chaque décision à prendre, posez-vous la question: est-ce que réaliser cette tâche me permettra d’atteindre mon but ? Dressez une liste de prospects qui correspondent à votre marché et à votre client idéal. Ensuite, prenez des rendez-vous pour un lunch, une rencontre… et veillez à entretenir ces relations. Faites de même avec les membres de votre réseau qui ont des cibles avec lesquels vous avez une complémentarité en termes d’offre de services. Instaurez d’emblée un climat de confiance et donnez avant de recevoir. Vous pouvez aisément prévoir entre 3 et 5 rendez-vous par semaine. Développez ensuite une stratégie de recommandations. Les gens qui vous font confiance seront ravis de vous recommander, n’ayez pas peur de les solliciter. Cette reconnaissance par votre entourage ou d’autres personnes de votre réseau constitue un formidable levier de visibilité et de crédibilité pour votre business. Les recommandations de qualité vous amèneront des clients qualitatifs et rentables : le coût d’acquisition est inexistant, la confiance est déjà établie et le lien est direct avec le décideur. Finalement, utilisez les bons outils, positionnez-vous et faites-vous connaître de vos prospects et reconnaître grâce à vos propres compétences. Provoquez ensuite les rencontres avec ceux-ci en mettant en place des actions engageantes poussant les gens à entrer directement en contact avec vous !

Prenez plus de temps pour vos prospects de qualité, inscrivez les actions que vous voulez entreprendre avec chacun d’eux dans votre agenda et exécutez-les de manière isolée ou cumulative. Tenez-bon et respectez votre plan d’action à la lettre. Vous atteindrez ainsi vos chiffres et serez alors dans les meilleures dispositions pour progresser !

Les nouveaux prospects

Trouver de nouveaux prospects ou « leads » en anglais, est un travail permanent.
Les stratégies valables qui vous permettent de générer de nouveaux prospects sont complexes et il faut évoluer rapidement pour rester compétitif.
Pour beaucoup, générer de nouveaux leads s’apparentent à une contrainte car ils atteignent difficilement les bonnes cibles et ont un faible retour sur investissement. Pourtant, la génération de leads aujourd’hui n’a jamais été aussi facile.
Pour cela, il vous faut toutefois des outils digitaux précis et adéquats qui vous permettront de transformer tout visiteur de site Internet ou de réseau social en prospect.
Restez le pilote de votre développement commercial en créant des offres attractives pour vos clients et convertissez ces internautes en acheteurs grâce à des pages « d’atterrissage » faciles et logiques à l’utilisation.
En ayant des prospects mieux qualifiés, vous augmenterez la performance commerciale de votre entreprise.

Vendre ne s’improvise pas !

Même si l’on est tous un peu vendeur, vendre ne s’improvise pas! Il ne vous viendrait pas à l’idée de vous lancer dans un métier sans en avoir appris les ficelles ou le langage approprié avant tout.  Pourquoi vouloir vendre sans en connaitre les techniques essentielles ? Le plus gros obstacle à la vente n’est généralement pas le client, ni le temps, ni le lieu, ni le budget mais bien… le vendeur ! Vous connaissez beaucoup de vendeurs qui savent vraiment comment écouter les objections de leurs prospects ?

Imaginez une solution clé pour comprendre la personne en face de soi… Imaginez pouvoir nouer des contacts chaleureux aisément et vendre aussi simplement que de parler entre amis, sans préjugés et sans à priori. C’est bien l’attitude du vendeur qu’il faut modifier pour qu’il devienne honnête, poli, respectueux… un ami pour le prospect. Avec tout cela, vendre devient un jeu d’enfant.

Mais voilà…Quelles sont les questions qu’il faut savoir poser pour faire de notre prospect notre meilleur pote du moment ? A ce jour, les simples questions comme quoi, où, comment ou combien ne sont plus suffisantes, car le client y a déjà répondu tout seul à travers sont ‘’e-shoping’’ ! Alors pensez à votre valeur ajoutée. Qu’est-ce qui vous démarque des autres vendeurs, de la concurrence ? Ce qui fait aujourd’hui la différence c’est votre capacité à identifier le besoin émotionnel de votre client et pourquoi a-t’il ce besoin si particulier. Posez-vous les vraies bonnes questions ; celles qui vous permettrons de connaitre les motivations réelles de vos clients et qui vous permettront de vendre mieux, de vendre plus que vos concurrents.

Donnez-vous toutes les chances de réaliser de meilleures ventes.

L’échec… un apprentissage de la vie

Échec… Voici un mot qui revient à la mode. On a peur de l’échec, il fait froid dans le dos et on préfère l’éviter. Alors on ne prend pas ou plus de risques. Cette peur, elle ne vient pas directement de nous, mais des autres…  du regard des autres… de cette phrase : ‘’on t’avait prévenu !’’. On a peur de donner un sujet de conversation à toutes ces personnes qui nous envient, qui nous jalousent…  Alors, réussir c’est s’accomplir ? On évolue, on progresse, on gravit les échelons… on devient meilleurs ? On a été éduqué pour donner le meilleur de nous-même pour accéder à la réussite.

Tout cela demande réflexion… révision! Nous apprenons bien plus et bien plus vite de nos échecs ; à devenir encore meilleur, plus fort et plus confiant. Imaginez-vous lors d’une vente. Rien de difficile à cela pour un talentueux vendeur… et pourtant la vente rate. C’est un échec pour vous ? Peut-être, et tant mieux si cela est le cas ! Effectivement, cette ratée vous permettra de mettre le doigt sur les compétences à retravailler, elle va vous permettre de renforcer vos connaissances dans certains domaines. Il vous faudra donc accueillir cet échec comme une opportunité, en être fier, vous réjouir de l’apprentissage que vous en tirerez ! Parce que le plus important, ce n’est pas l’échec en lui-même, mais comment vous allez vous en relever et en revenir plus fort. En échouant, vous apprendrez dix fois plus vite qu’en réussissant, vous garderez la tête bien ancrée sur vos épaules et vous en ressortirez plus fort. Faites de vos échecs des alliés. Parlez-en la tête haute, en souriant à la leçon que vous en avez tirée et partagez-les avec confiance et sans honte.

Si vous perdez votre job, si vous raté un entretien d’embauche, cherchez à en connaitre les vrais raisons. Demandez-vous pourquoi ? Prenez le temps de la réflexion et cherchez les réponses… Qu’auriez-vous pu faire de mieux ou d’autre pour que cela réussisse. Recommencez, encore et encore, encore une fois… jusqu’à ce que cela fonctionne comme vous l’attendez. Toutes ces ratées, ces apprentissages vous apportent des compétences hors-normes et vous vaudrez bien d’avantage que celui qui n’a rien entrepris, qui est resté coincé dans sa zone de confort… votre savoir en deviendra précieux. S’il y a échec, il y a forcément apprentissage et vous vous relèverez pour mieux réussir.

On ne s’habitue pas à la peur de l’échec et, ça aussi, tant mieux. Sans craintes, sans critiques, sans appréhension, on n’avancerait pas. ‘’Beaucoup d’entre nous se retienne par crainte d’échouer, par crainte de devoir remettre en question sa personnalité.’’

Mentor et Leader

Leadership est devenu un thème très tendance. Nous sommes bombardés de livres, de séminaires, de questionnaires, de conférences sur le Leadership !

Mais ne nait-on pas avec le leadership en soi ??

Comme dans toutes relations humaines, le Leadership a quelque chose de mystérieux. On dit que la plupart des leaders ont un certain comportement reconnaissable dans des situations particulières. Il n’y a pas de règles sur le comportement ou sur les actions idéales d’un leader. Différents leaders vont utiliser différentes qualités ou différents aspects de leur personnalité selon les circonstances: compétences, formation, expérience… tout cela est important pour un leader. Quoi qu’il en soit, un leader est généralement quelqu’un possédant un certain charisme.
Pour savoir d’avantage ce qu’on entend par leader ou par mentor, compétences utiles au Leadership, voici quelques définitions:

Un leader est une personne dont les projets et l’activité sont liés à celles d’un groupe ou d’une entité supérieure dans le but de satisfaire des objectifs communs. Sa légitimité réside dans la qualité et le dynamisme de son leadership.
Quand il s’agit d’un individu, il se caractérise par son charisme et ses capacités d’orateur. Le leader a des compétences personnelles qui le rendent différent et qui lui permettent d’être écouté et suivi par un groupe de personnes.

Un mentor est un conseiller expérimenté, attentif et sage auquel on fait entièrement confiance.
Le mentoring désigne une relation interpersonnelle de soutien, une relation d’aide, d’échanges et d’apprentissage, dans laquelle une personne d’expérience, le mentor, offre ses connaissances dans le but de favoriser le développement d’une autre personne qui a des compétences à acquérir et des objectifs professionnels à atteindre. L’aide fournie par le mentor est généralement bénévole et apportée dans le cadre d’une relation professionnelle, en dehors de la ligne hiérarchique, répondant aux besoins particuliers de chacun en fonction de ses objectifs liés à son développement personnel ou professionnel.

Il ne faut pas confondre « mentoring » et coaching, qui sont deux concepts différents.

Poursuivre ses recherches d’emploi en été : un atout !

Ne sous-estimez pas la période estivale qui est le moment idéal pour prendre la main sur vos concurrents. C’est aussi les meilleurs moments pour cibler les entreprises qui vous font envie. Les technologies actuelles permettent de pouvoir profiter du beau temps tout en complétant votre travail de chercheur d’emploi.

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Aujourd’hui, je postule?

La digitalisation n’est pas à la mode que dans la volonté d’acquérir un produit ou un service. Le monde qui nous entoure se modernise à tous les niveaux et lors d’une postulation il est aussi important d’être moderne. Bannissez les formes de politesses pompeuses et sans intérêt. Allez à l’essentiel. Les exigences se sont assouplies et nous préférons aujourd’hui les formules courtes. La lettre de motivation, telle que l’écrivaient nos grands-parents, nos parents même, n’a plus de sens et n’est généralement pas lue par les recruteurs. Trop de banalités, de phrases type sans intérêt.

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Le client est-il bien guidé?

Très souvent, lors de son processus d’achat, le client se perd. Est-il aiguillé correctement ? Habitué aux moteurs de recherche, le client ne comprend pas que nous ne puissions pas lui donner une information de prix claire et transparente à l’instar d’eBooking ou autres sites d’informations. Il veut le juste prix pour le véhicule qu’il achète, celui que nous lui reprenons, mais aussi pour le financement. Si nous n’arrivons pas à formuler ces offres clairement, l’acheteur ira ailleurs.

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Et le concessionnaire?

La conquête d’un nouveau client n’est pas (ou plus) seule affaire du vendeur. Le concessionnaire a sa part de travail, d’idées et de développement à assurer également. Pour que le client soit moins volatil, il doit être guidé dès le commencement de ses recherches. Plus de la moitié des clients débutent leur recherche sans savoir du tout le modèle dont ils ont besoin. Ceux qui se seraient déjà orientés vers un modèle connu peuvent encore changer d’avis. Ce début de recherche est donc primordial, car c’est là que le client peut basculer vers une marque qu’il ne connaît pas encore.

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Acheter chez un concessionnaire officiel

La situation dans le domaine des importations directes est toujours tendue pour le concessionnaire officiel suisse. Celui-ci doit perpétuellement justifier ses tarifs supérieurs par rapport aux importateurs parallèles qui utilisent des voies de distribution extérieures aux canaux autorisés par les constructeurs. Même si les importations parallèles sont en principe légales, c’est plutôt sur le plan moral qu’elles sont douteuses car il s’agit souvent d’entreprises profitant des différentes activités et prestations de l’agent officiel comme celles de service, les tâches administratives, la publicité et les locaux d’exposition imposés aux concessionnaires par les constructeurs, sans oublier la bonne humeur du conseiller de vente qui fera tout ce qu’il faut pour satisfaire le client en espérant pouvoir aboutir à un contrat.

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